Vous avez le droit de me taper sur les
doigts (encore) car j’avoue que j’ai pris énormément de retard cette semaine
par rapport à la publication des billets. Ne m’en voulez pas, je croule sous le
travail (enfin ça, c’est ce que je dis). Non, en vrai, j’ai passé une bonne
partie de la semaine à essayer de me remettre physiquement du Festival des
Papillons de Nuit qui avait lieu les 21.22.23 mai dernier à Saint Laurent de
Cuves en Normandie (quand je vous dis que la Normandie c’est génial, je ne mens
pas). Pas de temps à perdre donc pour vous faire un petit récap’ de ce week-end
musical.
Le Festival s’installe dans une petite
bourgade qui est assez sympa, et en pente (événement deux en un : bon pour
les oreilles et en plus c’est mieux que la salle de sport). Le camping est un
peu loin du site du festival, mais si on marche vite, ça passe vite. Trois
scènes sont réparties sur le site : Érébia, Thécia et Vulcain (les noms
sont sympas, avouez). Quand je suis arrivée (oui, c’est la première fois que je
venais), je me suis perdue, au moins trois fois, demandé mon chemin – beaucoup
– et j’ai trouvé l’accueil médias (qui était en amont de l’endroit où je me
trouvais). Après avoir galéré à trouver mon frère et ses (très gentils) amis,
j’ai (enfin mon frère a) installé mon matériel de couchage et je suis partie en
quête de mon pass pour le festival.


Troisième et dernier jour sur site, et je
me réveille à dix heures (oui, je suis une flemmarde). Je me rends au premier
concert de la journée : celui du groupe rennais WE WOLF (et je peux vous
dire que ça envoie du bois). Je file rédiger deux trois papiers et je retourne
sur le site pour Josef Salvat que je trouve génial. Un australien qui chante
aussi bien en anglais qu’en français, une voix envoutante (filez vous procurer
son album, vous verrez, ça change de la musique commerciale à laquelle nous faisons malheureusement face tous les
jours).
Suite à ce week-end chargé, je redescends
plier bagage en compagnie de mon frère – et je rentre chez moi, fatiguée mais
très contente du séjour musical duquel j’ai profité. L’organisation n’a pas
pêché une seule seconde, les bénévoles étaient très accessibles et aimables,
les sanitaires, propres (parce qu’un CR de festival se doit aussi de vous indiquer si ça cloche à ce niveau là), les autres médias que j’ai pu rencontrer sont très bons et je vous recommande vivement de lire les LiveReports de Thomas, sur le site Songazine.fr
Sur ce, je vous souhaite une belle
soirée/journée, n’hésitez pas à booker votre week-end du 2 au 4 juin de l’an
prochain – vous ne serez pas déçu(e) – et au pire du pire ce sera l’occasion de
rencontrer des gens. Le Festival, c’est un peu la parenthèse d’une année de
travail, l’endroit rêvé pour retrouver les copains – et l’ambiance est bon
enfant, donc au plaisir de vous y croiser !
Merci du lien :) Bon weekend, tchuss ! Thomas (Songazine)
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