Comme vous avez pu le voir récemment, j’ai
commencé à lire les œuvres de Frédéric Beigbeder. Je me suis penchée sur L’idéal. Le livre dont je vous parle
aujourd’hui est un peu particulier… En effet, c’est après avoir vu le film que
j’ai décidé de lire le bouquin. Je ne sais pas comment vous procédez mais
personnellement, j’ai toujours préféré lire un livre puis aller voir l’adaptation
au cinéma. Pour une fois, ce n’est pas ce qui est arrivé. Le film qui découle
du film est euh… je ne sais pas trop, allez lire ma critique si vous voulez le
savoir.
L’idéal
(qui rime avec l’Oréal) c’est l’histoire d’un chasseur de modèles qui se
confesse à un prêtre. Je dois avouer qu’apprivoiser le livre est assez complexe
car il y a une multitude d’anecdotes qui viennent interférer avec le discours d’Octave
Parango, personnage principal du livre. Même si le livre est très flou sur le
plan narratif, les thèmes abordés sont intéressants : la recherche de la perfection,
la peur de vieillir, l’amour et le désir (qui sont deux choses différentes). On
découvre l’univers de ceux qui cherchent les visages des marques de luxe (ou
pas d’ailleurs), tout en découvrant les vices d’un personnage qui semble
beaucoup souffrir de la situation.
Pour faire clair mais concis (parce que j’estime
que vous devriez vous forger votre avis en lisant le livre) : un livre
intéressant, plutôt marrant mais que je ne relirai probablement pas. C’est un
livre assez plaisant à lire car il emmène l’esprit ailleurs mais qui n’est pas « facile »
à s’approprier.
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