Le 13 décembre dernier, Montagne en Scène
remettait le couvert pour la Winter édition 2016. Je dois dire que j’étais
vraiment ravie de pouvoir de nouveau aller à la rencontre de pratiques
sportives de montagne que je ne pratique pas (ceux qui ont lu le premier compte
rendu doivent savoir pourquoi). Au programme de la soirée donc, quatre films
avec chacun leur particularité. Voici ce que j’ai pensé de chaque film – je
tiens à préciser qu’il s’agit de mon avis personnel. Ah, oui, avant que je
n’oublie : pour les pitchs, rendez-vous directement sur le site
montagne-en-scène.com rubrique programmation !
The warmth of winter, de Ben
Sturgulewski
Que dire de ce film mis à part que je l’ai
trouvé trop court… Beaucoup de poésie, des images à couper le souffle : le
festival reste égal à lui même et propose une fois de plus un film de qualité.
Le premier de la soirée, qui nous a permis de lâcher prise après une rude
journée
Link Sar, de Davide de Masi
Le film auquel je me suis le moins
attachée, je ne sais pas pourquoi d’ailleurs… Cela dit, je vous conseille tout
de même de jeter un œil, peut-être qu’il vous plaira plus qu’à moi !
La liste, de Guido Perrini
Tout pour faire un bon film : des
images à couper le souffle, une histoire prenante. Le ski de pente raide ?
Je ne savais pas ce que c’était jusqu’à ce mardi et pour être honnête je ne
regrette pas d’avoir découvert cette pratique sportive si esthétique.
Grandiose. Il n’y a pas d’autre mot.
The Great Alone, de Greg Kohs
Sentiments. Normalement c’est ce que l’on
doit ressentir en tant que spectateur dans une salle de ciné. Des réalisateurs
y arrivent, d’autre non. Et pourtant. Ce film qui relate le parcours de Lance
Mackey lors de la course de traîneaux de l’Iditarod est très agréable à
regarder. L’ascenseur émotionnel est bien présent. Les différents points de vue
aussi. Ne vous privez pas de voir ce film car outre une belle histoire humaine,
c’est également un film qui appelle au courage et à la combativité.
Et donc ? Rendez-vous est pris pour ma
part pour la Summer de 2017, qui sait, peut-être qu’on s’y croisera ?
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