USA, 2017
Réalisation : Tom McGarth
Interprétation : Alec Baldwin
Scénario : Michael McCullers
D’après : The Boss Baby de
Maria Frazee
Production : DreamWorks Animation
Distribution : 20th Century Fox
Durée : 97 minutes
Sortie : 29 mars 2017 (France)
Comme vous le savez certainement si vous me
lisez depuis un petit moment, j’ai un faible pour le cinéma et j’apprécie
beaucoup le cinéma d’animation (encore plus depuis ma rencontre avec Simon G. à cf article d’il y a
presque un an). Il y a quelques temps, j’avais envie d’aller voir Baby Boss, ni
une ni deux, je saute dans ma Twingo avec ma grand-mère sous le bras et nous
nous rendons à Alençon, petite ville normande pas piquée des hannetons.
Une fois n’est pas coutume, j’entends le
sempiternel « mais je vais encore être la plus vieille de la salle »
de la bouche de ma grand mère. Qu’à cela ne tienne, elle a tout de même envie
de voir ce film alors elle franchit timidement (mais pas trop) le pas de la
salle de cinéma. Je ne savais pas à quoi m’attendre car c’était là la VF et que
j’ai une sainte horreur de la VF (no offense mais je préfère largement aller
voir un film sous-titré). Bref, bandes annonces, pub et nous voilà parties à la
rencontre d’une famille lambda comme on l’attend qui voit l’arrivée d’un
nouveau membre sous son toit.
Le pitch : Un garçon de sept ans, nommé Tim, est jaloux de
son petit frère (Baby Boss). Quand il va en mission pour reconquérir
l'affection de ses parents, il découvre un complot secret du PDG Puppy Co., qui
tourne autour de son petit frère et menace de déstabiliser l'équilibre de
l'amour dans le monde. Les deux frères doivent s'unir pour sauver leurs
parents, rétablir l'ordre dans le monde et ainsi prouver que l'amour est une
force infinie.
L’histoire reste mignonne, les traits sont
parfois exagérés mais les personnages sont attachants ce qui permet
d’équilibrer le film. Le point de vue adopté est celui du personnage principal
du film, non pas celui d’un bébé mais celui de son potentiel grand frère qui
doit s’accoutumer à la présence d’un nouvel habitant chez lui. Malgré un
scénario cousu de fil blanc, cette réalisation reste une jolie sortie à faire
en famille au cinéma.
En ce qui concerne l’image, je n’ai pas
grand chose à dire si ce n’est que j’ai préféré le film Poilus (encore une fois à
cf à un article datant d’il y a presque un an).
Pour conclure, ce n’est pas un mauvais film, ce n’est pas le meilleur du
monde non plus mais si vous avez envie de vous distraire, ça fera l’affaire.
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