mercredi 28 mars 2018

Petit aperçu de l'édition 2018 de la Nuit des Publivores


    Peut-être avez-vous manqué les Nuits qui ont précédé ? Peut-être-même celle qui s'est tenue le 24 mars 2018 au Grand Rex à Paris ? Pour vous inciter à vous rendre aux prochaines Nuits, je ne peux que tenter de vous en donner l'envie en vous relatant assez brièvement et en vous présentant le concept. La Nuit des Publivores, c'est un ôte à la publicité sous toutes ses formes, qu'elles soient plus axées cinématographie que publicité, ou bien empreintes d'humour. 
    Elle a eu lieu le 24 mars 2018 à 23h30 (ouverture des portes à 22h30) au Grand Rex (1 Boulevard Poissonnière, 75002 Paris) pour sa 37ème édition si mes informations sont correctes.
    Cette soirée spéciale est une célébration de la publicité sous divers aspects. Mais il s’agit du meilleur cru mondial qui compose des heures de programme tournant dans plusieurs villes pour des évènements pleins de vie et de joie et de fous rires. Vous pouvez d'ailleurs dès maintenant vous renseigner sur les dates près de chez vous en vous rendant sur le site internet de la Nuit. 
    Comme je le disais il y a près d'un an déjà, la publicité peut se transformer en court métrage inventif et formidable. Et le fait de ne les voir qu’une fois, et de ne pas avoir son plaisir émoussé par de multiples diffusions, rend ce visionnage encore plus génial.
    De plus la bande annonce est aussi un miroir de notre société. Les produits vendus sont aussi révélateurs de notre civilisation et en apprennent beaucoup sur ceux à qui les publicités sont destinées.
    Toutefois, que le spectateur se rassure. 3 entractes sont prévus afin de faire une pause, s’aérer et se changer les idées, pour un clap de fin à 6h du matin pour les plus noctambules.
    Mais le meilleur ne serait pas aussi bon, sans le pire. Et gardez bien les yeux ouverts pour assister au plus mauvais que l’on trouve dans le domaine. Les rétines vont brûler, les oreilles saigner et la folie ambiante de la salle atteindre son paroxysme. Attention, crise de rire à prévoir, si son cerveau n’entre pas en mode déconnecté pour éviter la fusion.
    Car dans une soirée pareille, c’est l’ambiance qui tient éveillée. Bonne enfant, décalée, c’est un moyen de se détendre et défouler que de regarder ces fenêtres du mercantilisme prendre vie sur le très bel écran du Grand Rex.
    Une soirée au tarif unique de 20 euros en prévente, je vous recommande chaudement de vous rendre aux prochaines Nuits afin d'en apprendre plus sur la publicité et de ne plus la percevoir comme un outil de vente super-puissant. C'est aussi un moyen de mieux percevoir la société car le fait est que la pub change en fonction du public auquel il s'adresse et c'est tout bonnement délicieux.

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